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  <h2> Les nouvelles de septembre 2006</h2>





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Bonjour à tous,
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Nous voici en septembre, c’est la rentrée. Nos enfants s’apprêtent à reprendre le chemin de l’école du collège, du lycée ou plus encore…
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Certains partiront le cœur gai de retrouver leurs camarades tandis que d’autres seront plus tristounets. Soit ce sera la première fois qu’ils quitteront leur maman, soit certains soucis antérieurs ne leur permettront pas de reprendre la route joyeusement. 
Mais aujourd’hui pensait que ceci n’est plus une fatalité.
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En effet EFT est une technique que les enfants adorent. Bien sûr il faudra l’adapter à l’âge de l’enfant. Pour les plus jeunes il sera judicieux d’utiliser le tapotement de substitution par exemple sur leur ours en peluche ou leur poupée qu’ils pourront tenir dans leurs bras pendant que vous tapoterez sur les points de leur doudou. Vous pourrez faire endosser à Nounours le lourd fardeau de l’enfant qui rentre à l’école est qui est très inquiet ou triste de laisser sa maman pendant la journée. De plus il vous dira immédiatement si « nounours » va mieux ou bien s’il lui reste encore un peu de tristesse…
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L’enfant a un avantage certain sur l’adulte, c’est qu’il ne se pose aucune limite quant à l’efficacité d’une technique.  Pour lui il s’agit d’un nouveau jeu et si en plus c’est maman qui le lui apprend il sera ravi de passer ce moment privilégié avec elle. 
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J’ai reçu une enfant de 10 ans que sa maman m’avait emmenée parce qu’elle désespérait de la voir rentrer de l’école sans pleurer. Chaque soir il lui fallait essuyer ses larmes après avoir été humiliée devant la classe par la maîtresse qui la trouvait trop lente ou par ses camarades de classe pas toujours très agréables avec elle. 
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La maîtresse avait convoqué la maman pour lui annoncer que sa fille redoublerait son CM2. Nous étions en milieu de second trimestre. Lorsque je lui ai demandé ce qui se passait avec sa maîtresse elle m’a répondu : « elle ne m’aime pas, elle est toujours après moi. »
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Je lui ai demandé ce qui lui faisait dire cela elle m’a répondu :  « elle dit que je suis une limace et que je n’arriverai jamais à rien. »
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Je lui ai proposé d’essayer un « nouveau truc » sympa qui pourrait l’aider à mieux supporter les réflexions de sa maîtresse. Elle était d’accord. Nous avons tapoté sur : « même si ma maîtresse dit que je suis une limace, moi je sais bien que je fais de mon mieux». Après la première ronde elle m’a dit de toute façon elle dit cela parce que les garçons de la classe ne m’aiment pas et que c’est plus facile de dire que c’est de ma faute. Je lui ai demandé de préciser un peu ce qu’elle venait de me dire.
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Elle m’a dit : « les garçons me traitent de « bison 4 ». Je ne sais pas ce que cela veut dire mais je sais que c’est méchant parce que ça les fait rire. »
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Nous avons traité ce point et à la fin de la première ronde elle riait. Lorsque je lui ai demandé : « qu’est-ce qui te fait rire ainsi ? Elle m’a dit : « c’est bison 4, c’est marrant ce nom… ».
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Erica est passé en 6ème. Elle a déclaré que c’était la maîtresse qui avait un souci pour perdre ainsi patience avec elle qui était là pour apprendre quelque soit la vitesse à laquelle elle pouvait comprendre les choses. Elle n’aime pas beaucoup plus l’école qu’avant, mais elle n’a plus de problèmes avec les garçons qui devant ses rires ont trouvé une autre personne à ennuyer. Il n’a fallu que 2 rondes pour redonner le sourire à Erica.
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Bonne rentrée à tous !
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Geneviève
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P.S : <br />
Pour les nouveaux venus sur le site,  l’ebook interactif <b>« Maigrir durablement avec EFT »</b> est toujours disponible à un prix très attractif. Pour de plus amples renseignements rendez-vous sur le site de diffusion en cliquant sur le lien ci après : <a:'http://www.maigrir-durablement-avec-eft.com' >voir la présentation de l’ebook</a>.
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<b>Traduction du site EFT de Gary Craig</b>
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<b>L'aide d'un enfant qui ressent une insécurité et une inquiétude à l'école – en utilisant la visualisation de ballons pendant le tapping.</b>
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Bonjour tout le monde,
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Les enfants répondent bien à EFT mais il est d'habitude nécessaire "d'entrer dans leur monde" pour gagner leur confiance. Deborah Miller, PhD du Mexique le fait juste en intégrant une délicieuse visualisation de ballon avec le EFT.
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Étreintes, Gary
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Par Deborah Miller, PhD

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Hé Gary,
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J'ai travaillé avec Lupita, une fillette de 11 ans. C’est une enfant douce qui a rejoint une nouvelle école il y a deux ans. Depuis ce changement elle n' aime plus l'école, et n’a plus de bons résultats.
<br />D'abord elle était intimidée et ne pouvait me dire pourquoi elle n'aimait pas l’école alors sa mère est intervenue  et a exposé plusieurs raisons. Lupita était toujours mal à l’aise. Donc je lui ai demandé si elle avait déjà travaillé avec quelqu'un comme moi qui allais utiliser EFT avec elle. Elle ne m’a pas répondu alors je lui ai dit de ne pas s'inquiéter parce que c'était une nouvelle expérience et que nous ferions cela ensemble, sa mère et moi. Nous travaillerons tous ensemble afin de l’aider. Elle s'est immédiatement détendue.
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Nous avons commencé par les problèmes à l'école. Il y a un groupe d'enfants, de garçons et de filles, qui lui disent quotidiennement qu'elle est stupide et laide. Cela la dérange tellement qu’elle ne veut plus aller à l'école. 
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Après avoir présenté à Lupita les points EFT, nous avons commencé à travailler sur les émotions qu’elle ressentait lorsque ces élèves lui ont dit ces choses désagréables. Elle a immédiatement commencé à pleurer. Nous avons immédiatement travaillé sur les sentiments de mal-être, de tristesse, de solitude, d’isolement. Nous avons aussi travaillé sur le fait que ce n'était pas  de sa faute si les autres élèves l’embêtaient ainsi et qu’elle ne devait pas prendre ces remarques pour elle personnellement.
<br />Elle était bien plus détendue.
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Nous avons travaillé sur comment parfois d'autres sont désagréables quand ils s’estiment inférieurs alors ils disent des choses désagréables pour se sentir mieux, plus grands ou plus importants. Je me suis rendue compte qu'elle réussissait avec les mots que j'employais, mais j'ai voulu atteindre un niveau plus profond. Donc j'ai décidé d'employer la visualisation en tapotant.
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En tapotant, je lui ai demandé si elle voulait se débarrasser de ces sentiments. Elle a incliné la tête pour dire « oui ». J'ai demandé si elle pourrait imaginer un ballon se remplissant des émotions qu’elle ressentait lorsque les élèves disait qu'elle était laide. Elle a dit « oui » avec la tête. Je lui ai demandé de quel couleur était le ballon. Elle a dit vert. J'ai demandé si elle pourrait le voir se remplissant de la tristesse qu'elle ressentait ?
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J'ai demandé de quel grandeur était le ballon. C'était deux fois la taille de sa maison. C'est beaucoup d'émotion retenue.
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Nous avons continué à tapoter sur les points pendant ce dialogue. J'ai demandé si elle avait mis chaque émotion triste dans le ballon et elle a incliné la tête pour dire « oui ». Alors je lui ai demandé de couper la corde qui retenait le ballon. Elle l’a fait aussitôt. Quand je lui ai demandé où le ballon allait , elle a dit dans le ciel. Je lui ai demandé ce qu'elle voulait mettre dans son corps, dans l'espace laissé par la tristesse ainsi libérée. Elle a dit le bonheur. Je lui ai demandé si nous pourrions également ajouter de l'amour et elle a été d'accord. Je lui ai demandé de quelle couleur étaient le bonheur et l'amour et elle a dit rouge. Donc nous avons tapoté sur le fait qu'elle se remplissait de bonheur et d'amour de couleur rouge. Nous avons tapoté et avons visualisé la scène avant qu'elle s’estime pleine de bonheur et d'amour. Elle a semblé visiblement soulagée et un sourire s’est dessiné sur son visage.
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Alors nous avons décidé de traiter les autres émotions dues aux élèves de l'école et sur son désir de faire ses devoirs. Je lui ai demandé de remplir un autre ballon. Cette fois il était rouge. Nous avons tapoté sur le fait qu’elle est intelligente et capable de faire ses devoirs. Qu'elle peut trouver des façons de le faire en s’amusant, comme le dessin. Elle aime faire des croquis. Qu'il fallait qu’elle étudie pour qu'elle puisse réussir ses examens même si d’autres élèves se trompent et n’y arrivent pas. Il n’y a pas plus chic qu'elle. Elle étudiera pour devenir encore plus intelligente.
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Elle a rempli le ballon de ses sentiments de mal-être et l'a coupé et lâché. Nous avons rempli l'espace dans son corps avec la tranquillité et cela lui apparaissait de couleur bleu. De nouveau un sourire a rencontré par hasard son visage.
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Le dernier sujet était que son père ne venait pas les voir. (Ses parents sont divorcés et elles vivent avec leur grand-mère.) Cela la rend très triste. Elle voudrait qu'il vienne plus souvent mais il ne le fait pas. Donc nous avons choisi un autre ballon, bleu. Elle l'a rempli de sa solitude et des sentiments de rejet par son père. De nouveau elle a coupé le lien qui retenait ce ballon. Cette fois elle a voulu remplir l'espace de l'amour. C'était rose. Un rose chaud. J'ai demandé à quelle genre de fleur cela lui faisait penser et elle a dit une rose. Aussi nous avons ri d'elle étant une rose d’une chaude couleur rose, une belle rose rose.
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Pendant cette session nous avons tapoté sur les émotions et les idées suivantes :<br />
* Le mal-être.<br />
* Le sentiment d’être laide.<br />
 * Le sentiment d’être stupide.<br />
 * La tristesse<br />
 * Le rejet.<br />
 * Le désir d’être acceptée et aimée par son père et d'autres.<br />
 * Le pardon aux autres lorsqu’ils disent de mauvaises choses parce qu'ils ne s’estiment pas alors ils s’attaquent à d’autres afin de se sentir mieux.<br />
 * Étant responsable de ses propres études peu importe si d'autres n’y arrivent pas.<br />
 * Elle ne doit pas prendre personnellement ce que les autres disent parce qu'à l'intérieur elle sait qu'elle est ok.<br />
 * Elle est belle de l’intérieur et cela la rend belle aussi de l’extérieur.<br />
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Ensuite, sa mère a dit qu'elle ne s'est pas rendue compte que sa fille ressentait tant d'émotions, mais qu’elle était heureuse la voir si détendue.
J'ai aimé le fait d'employer la visualisation avec cet enfant. Cela l’a aidée à se libérer rapidement et ceci d’une manière amusante pour elle. Cela a été une expérience très agréable pour nous deux.
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Deborah Miller, Ph.D.(doctorat)









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